Prophéties
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Les symptômes ou signes de l’âge de kali.

Par la force implacable du temps, chaque jour voit s’accentuer le déclin de la spiritualité, de la véracité, de la propreté [la pureté], de la clémence, de la miséricorde, de la durée de la vie, de la force physique et de la mémoire.

Au cours de cet âge, se dégraderont peu à peu les principes de la spiritualité, la véracité, la pureté, la clémence, la miséricorde, la durée de la vie, la force physique et la mémoire, pour disparaître complètement, ou presque.

L’âge de kali est précédé de trois autres âges. L’âge d’or ou l’âge de la pureté et de la vérité qui dure 1 728 000 ans, l’âge d’argent qui dure 1 296 000 ans, et l’âge de cuivre qui dure 864 000 ans.

L’âge de kali constitue donc l’aboutissement d’un cycle de quatre âges au cours duquel la longévité de l’homme décroit progressivement. De 100 000 ans, au début de l’âge d’or, elle passe à 10 000 ans puis à 1 000 ans, et enfin à 100 ans au début de l’âge de kali, l’âge actuel. Déjà, l’homme ne vit plus en moyenne que soixante dix années, et le jour viendra où l’on tiendra pour vieillard un homme de trente ans.

Autre symptôme de l’âge de kali, la baisse de la mémoire. Aujourd’hui en effet, on peut voir à quel point les gens ont tendance à oublier facilement. On peut leur répéter tous les jours la même chose, ils l’oublieront quand même. On observe également une diminution de la force physique, phénomène aisément vérifiable, car personne n’est sans savoir que nos ancêtres avaient une constitution physique plus solide. Tous ces signes de décadence, diminution de la force physique, de la mémoire et de la longévité, le Seigneur les avait donc prédits.

L’âge de kali se caractérise également par un déclin de la spiritualité. Pour ainsi dire, en cet âge, il n’est même plus question de religion, cela n’intéresse plus personne et partout l’on voit se fermer des églises et des temples. Tout cela correspond donc à un déclin de la spiritualité.

La véracité, la pureté et la clémence n’échappent pas non plus à cette règle. Autrefois, un homme était prêt à pardonner une insulte ou un affront.

Arjuna [Ami, disciple et dévot de Krishna] en est le meilleur exemple. Bien qu’il eût beaucoup souffert des intrigues de ses ennemis, il fit part à Krishna, sur le champ de bataille de kuruksetra, de son désir de ne pas en tirer vengeance dans un combat sanglant.

Mais de nos jours, on se tue à la moindre dispute, c’est la triste vérité. Et de même la compassion est en voie de disparition. On pourra bientôt assassiner quelqu’un en public sans que personne n’intervienne ou s’en émeuve, cela arrive déjà aujourd’hui.

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