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Ecrire un ouvrage sur Dieu, ou parler de lui est quelque chose d’évident pour un croyant, mais
c’est aussi de la part de l’auteur, faire preuve d’affection à son égard. C’est aussi exorciser les
tabous, toutes idées incomprises ou déformées le concernant, mais c’est aussi le souci
impérieux de mieux le faire connaître, en faisant taire les critiques et à fortiori dire aux
négationnistes qu’il existe réellement, car je l’ai rencontré.
Je n’écris pas sur Dieu uniquement pour les raisons évoquées ci-dessus, mais aussi et surtout
parce que je fais parti de ceux qui peuvent prétendre le connaître. Une autre raison et pas des
moindres, tiens au fait que j’ai eu l’infime honneur de le rencontrer et d’obtenir de lui : aides,
conseils, enseignements, soutiens dans mes épreuves et difficultés.
D’autre part, il m’a permis de voir des choses cachées, de rencontrer ceux que les hommes
appellent anges. Ces derniers m’ont accordé l’insigne honneur ou privilège de découvrir les
données liées à l’incarnation. Je peux à ce titre, dire que j’ai obtenu le rare avantage accordé
par Dieu aux hommes, de pénétrer ce mystère. Ce que je dis est vrai et atteste de la réalité des
propos du CHRIST, lorsqu’il dit : « Je vous donnerai ce que l’œil n’a pas vu, ce que l’oreille
n’a pas entendu, ce que la main n’a pas touché, ce qui n’est pas monté au cœur des hommes ».
Cet ouvrage a également pour but de respecter le souhait de Dieu, concernant le devoir qui
nous échu en rapportant aux hommes l’enseignement que le créateur nous prodigue.
N’a t-il pas dit :
«
Ce que tu entends d’une oreille, dis-le à une autre oreille, proclame-le sur les toits ».
Evidemment la question ne se pose pas en ce qui concerne les croyants, car ils le connaissent,
mais les athées méritent toute notre attention. Ils sont à mes yeux, aveugles et sourds.
Comment peut-on ne pas croire en L’ESPRIT SAINT.
Nombreux sont les négationnistes, qui prétendent que tout est le fait du hasard, et fait suite à
une lente mais progressive évolution. Mais enfin c’est en ce qui me concerne, une aberration
notoire. Comment partir de l’idée que l’univers ne soit le fait d’aucune intervention divine.
Abordons un instant ce sujet. Si nous partons des données scientifiques, nous savons que
notre univers est la résultante du big-bang, ce dernier ayant entraîné la formation de notre
cosmos et de tout ce qui s’y trouve, or nous savons tous, que le big-bang n’est ni plus ni
moins, qu’une gigantesque explosion. Là encore, les avis divergent, certains scientifiques
prétendent que cette explosion était de la taille d’un atome, c’est-à-dire minuscule. Peu
importe, cette explosion aurait donné suite à une lente et progressive extension de notre
univers. Or nous savons que pour qu’il y ait explosion, il faille nécessairement qu’il y ait
convergence d’éléments, de particules, qui entrant au contact, provoquent cette explosion.
D’après les chercheurs, l’instant qui a précédé ce big-bang plongeait dans le néant.
Ma question est simple.
D’où provenaient ces particules ?
Il a bien fallu que ces dernières viennent de quelque part. Elles ont forcément une origine, et
c’est là que le bas blesse, car les scientifiques n’apportent aucunes réponses, et certains pour
des raisons fallacieuses, s’y refusent, les données actuelles toutefois ne le permettent pas. Des
chercheurs néanmoins échafaudent des hypothèses, allant jusqu’à admettre l’existence
d’autres univers mères.
Il y aura toujours hélas, des hommes matérialistes qui comme Saint Thomas diront :
«
Si les scientifiques ne peuvent pas expliquer l’origine du big-bang, alors nous attendrons
avant de nous prononcer. D’ici là, nous partons du principe que l’origine du monde est due au
hasard ».
Qu’elle tristesse. Cette courte vue désolante m’interpelle. Comment peut-on ne pas croire à
une origine divine ?
Dans leurs recherches concernant la masse de l’univers, les astraux physiciens sont arrivés à
la conclusion qu’il devait être binaire, car une grande partie de cette masse est manquante.