illicites (hors mariage), ne pas consommer de viande, de poisson et d’œuf, ne prendre aucune drogue et produits excitants (alcool, cigarette, café, thé) et ne pas jouer aux jeux d’argent et de hasard. Les rejeter tous permet de vivre dans la pureté de corps et d’esprit.
Si par la grâce de Dieu, nous pouvons rester fidèles aux principes régulateurs et chanter le chant des saints noms de Dieu, le Seigneur ne manquera pas de nous protéger. De fait, Dieu déclare que son dévot n’est jamais vaincu. Tous ceux qui suivent cette discipline de la Conscience de Dieu doivent se soumettre à l’observance stricte des principes régulateurs et demeurer fermes dans la pratique du chant des Saints Noms du Seigneur. Si nous agissons ainsi, nous n’avons rien à craindre ; dans le cas contraire, notre position s’avère des plus dangereuses, particulièrement à l’époque où nous sommes.
Logos 211
Tout homme devrait éprouver de la peine devant le malheur des autres et de la joie devant leur bonheur. Il faut ressentir comme siens le bonheur et le malheur des autres. C’est sur ce principe fondamental que repose la non-violence.
Puisque nous éprouvons de la douleur lorsque quelqu’un nous tourmente, nous ne devrions pas infliger de souffrance aux autres êtres vivants. Dieu a ordonné « Tu ne tueras pas, et tu ne feras de mal à personne ».
Mais des hypocrites entretiennent des milliers d’abattoirs. Malheureusement, de prétendus philanthropes et humanistes préconisent de nos jours le bonheur de l’humanité au prix de la vie de pauvres bêtes. Ce n’est pas là ce que nous devons faire, car nous devons éprouver de la compassion envers tous les êtres spirituels incarnés dans des corps humains, animaux et végétaux. Qu’il s’agisse d’hommes, d’animaux, d’arbres ou de plantes diverses, tous les êtres sont des enfants de Dieu.
Le Seigneur dit : « Comprends que toutes espèces de vie procèdent du sein de la nature matérielle, et que J’en suis le père, qui donne la semence. »
Les différentes formes de ces êtres vivants ne sont que le vêtement qui les recouvre. Chaque être est en fait une âme spirituelle, une parcelle de Dieu. Il ne s’agit donc pas de se préoccuper du bien d’une seule catégorie d’êtres.
Il est écrit : « L’humble sage, éclairé du pur savoir, voit d’un œil égal l’être saint noble et érudit, la vache, l’éléphant, ou encore le chien et le paria. »