d’éternité, de félicité et de connaissance. Dans la première, nous sommes dominés par une conception matérielle de l’existence, liée au corps et au mental, mais dans la seconde nous pouvons constamment savourer la compagnie spirituelle et enchanteresse de l’Être Divin, Dieu, sans que rien ne puisse alors briser cette relation.
Logos 24
Le savoir spirituel et absolu, Dieu nous l’enseigne Lui-même. Il nous dit :
« J’ai donné cette science impérissable, la science de l’union et de la communion avec le Suprême, à Vivasvan, l’être céleste du soleil, et Vivasvan l’enseigna à Manu, le père de l’humanité, et Manu l’enseigna à Iksvaku. Savoir Suprême, transmis de maître à disciple, voilà comment les saints rois l’ont reçu et réalisé. Mais au fil du temps la succession disciplique s’est rompue, et cette science, en son état de pureté, semble maintenant perdue ».
« Si Je t’enseigne aujourd’hui cette science très ancienne, l’art de communier avec l’Absolu (Dieu), c’est parce que tu es Mon ami (e) et Mon dévot (Ma dévote), et qu’ainsi tu peux en percer le mystère sublime. Parce que jamais tu ne Me jalouses, Je vais te révéler la sagesse la plus secrète grâce à laquelle tu seras libéré des souffrances de l’existence matérielle. Ce savoir est roi entre toutes les sciences ; il est le secret des secrets, la connaissance la plus pure, et parce qu’il nous fait directement réaliser notre identité véritable, représente la perfection de la vie spirituelle. Il est impérissable, et d’application joyeuse. Encore une fois, Je t’enseignerai cette sagesse suprême, le plus haut des savoirs, grâce à laquelle tous les sages se sont d’ici-bas élevés à la perfection ultime. Qui s’établit dans ce savoir peut atteindre la nature spirituelle et absolue, semblable à la Mienne. Alors, il ne renaît pas au temps de la création, et à l’heure de la dissolution, (la fin du monde) n’en est pas affecté ».
Ce savoir sublime, Krishna, Dieu, la Personne Suprême nous l’enseigne Lui-même dans le livre ; « Bhagavad-gita », « Paroles de Krishna, Christ, Dieu, la Personne Suprême ».
Logos 25
Dieu ordonne de ne faire de mal à personne.
L’être humain ne doit ignorer aucun être vivant, les êtres célestes habitants les planètes édéniques, paradisiaques, les êtres humains, les animaux et les végétaux. Il doit savoir qu’en chaque être vivant, si insignifiant soit-il, s’agirait-il d’une fourmi ou d’un microbe, Dieu est présent à ses côtés, si bien qu’il faut se montrer bienveillant envers tous et ne faire violence à aucun d’eux. Dans la société actuelle, dite civilisée, certains principes religieux permettent et encouragent l’existence d’un grand nombre