Dès le début de la création, Dieu nous demande de ne tuer personne, humain et animal, mais il nous demande instamment aussi de prendre soin, de veiller sur tous les animaux terrestres et aquatiques sans exception et de même, de ne détruire aucun végétal quel qu’en soit la forme, et parmi lesquels les arbres, car ils abritent de nombreux êtres vivants, et de tous les protéger.

Ne tuons pas, ne faisons pas souffrir les animaux, et ne mangeons pas leur chair, car ils ont une âme. Les hommes ignorent encore que les lois divines prévalent sur les lois humaines, et qu’ils subissent les conséquences de leurs actes coupables, selon la loi du karma, loi action-réaction, loi de cause à effet.

Il est écrit dans les Védas, les saintes écritures originelles : « Tous les animaux que nous avons tués et que nous avons fait souffrir inutilement, vont nous tuer l’un après l’autre dans notre prochaine vie, et au cours de toutes nos autres vies ».

Ceux qui tuent les animaux, qui les font souffrir inutilement et qui mangent leur chair, comme c’est la pratique dans les abattoirs et les pêcheries industrielles, seront tués de façon analogue dans leur prochaine vie et lors de nombreuses autres vies à venir. Il n’y a pas de pardon pour une telle offense.

Ceux qui tuent par profession des milliers d’animaux terrestres et aquatiques comme c’est le cas des sacrificateurs d’abattoirs, des marins pécheurs et tous ceux qui tuent des poissons et les font mourir par asphyxie pour que les gens puissent en acheter la chair et la manger doivent s’attendre à être tués d’une façon similaire dans leur vie suivante et lors de nombreuses autres vies futures.

De nombreux individus sans scrupules vont même jusqu’à violer leurs propres principes religieux. Les saintes Ecritures judéo-chrétiennes précisent clairement le commandement suivant : « Tu ne tueras point ».

Malgré cela, se donnant toutes sortes d’excuses, même les chefs de ces religions tuent les animaux tout en se faisant passer pour de saints hommes. Cette dérision et cette hypocrisie de l’humanité sont la cause des calamités qui accablent la masse des hommes, comme le déclenchement périodique des guerres et des éléments de la nature matérielle.

Tuer des animaux terrestres et aquatiques nous privera non seulement de la forme humaine dans notre prochaine vie, mais nous forcera à revêtir un corps d’animal et à être tué par le même genre d’animal que celui que nous avons tué. Telles sont les lois de la nature.

J’ai assisté un jour à la mise à mort d’un pigeon par un corbeau. Un deuxième corbeau assistait à la scène en silence, prêt à intervenir le cas échéant semble-t-il. J’ai été à la fois choqué et surpris par ce que je voyais, car ici les moineaux, les pigeons et les corbeaux se côtoient, mangent souvent ensemble, et se frôlent sans problème.