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incarnées, qui peuvent dire, en vérité je sais d’où viennent mes trois petits enfants et qui ils
sont.
Voyez-vous mes amis, si le PERE, le DIEU SUPREME, le seul, l’unique vrai DIEU a voulu
que je vive ces événements, c’est en définitif pour me permettre de pénétrer un savoir inconnu
des hommes, mais aussi pour me donner comme devoir de transmettre ces données aux
ETRES humains.
L’enseignement que nous pouvons tirer de ces contacts revêt plusieurs aspects.
Le premier enseignement à tirer de ces rencontres, concerne le rôle majeur et exclusif joué par
les anges dans le processus d’incarnation des entités spirituelles. Vous savez désormais
qu’une entité spirituelle, par essence, n’a pas de sexe, car cet aspect dans l’univers spirituel
n’a aucun sens puisqu’il ne concerne que le corps humain, homme et femme, dont la fonction
première et principale est précisément et essentiellement de créer une enveloppe charnelle
susceptible de recevoir une entité afin que cette dernière puisse s’incarner.
Aussi, si j’ai dit au début de ce récit que les anges avaient revêtues une apparence féminine
c’était uniquement pour me permettre de mieux les voir. L’aspect masculin ou féminin n’étant
qu’une donnée liée au monde matériel. Dans l’univers spirituel, les choses sont totalement
différentes. Une entité spirituelle (nous) ou un ETRE CELESTE (un ange) par exemple, sont
par essence invisible pour l’univers matériel puisque identique à DIEU.
Voilà pourquoi un corps est aussi donné à l’entité demeurant sur terre comme à celle habitant
dans l’univers spirituel. Chacun des corps étant adapté à la sphère à laquelle elle appartient.
DIEU a donc dévolu aux anges le rôle de procéder à l’incarnation de l’entité spirituelle,
comme celui de l’ôter de son enveloppe charnelle le cas échéant. Ils ont en la matière une
fonction prépondérante et mérite tout notre respect.
Le deuxième enseignement permet de révéler le rôle que peuvent jouer certains ETRES-
INITIES, qui en accord avec le père détenteur de la vie et d’où émerge le principe vivifiant
sont capables d’influer sur le cours des événements permettant par l’intermédiaire des
assistants célestes à une entité spirituelle de s’incarner ou pas.
Ils ont ce pouvoir prescrit par le CHRIST.
Si vous aviez la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à ce mûrier :
Déracine-toi et transplante-toi dans la mer et il vous obéirait.
Sachant que le corps humain ainsi que l’essence spirituelle de toutes entités ont en leur sein
l’étincelle vivifiante de DIEU, il est aisé de comprendre que toute existence n’est possible
qu’avec l’assentiment de l’ETRE SUPREME. Sans le principe vivifiant de DIEU, aucune vie
n’est possible.
Aussi, si le PERE accorde à l’initié un quelconque pouvoir, c’est parce qu’il sait que cette
dernière marche sur le bon chemin et garde en lui ses préceptes. D’autre part il est détenteur
de données ignorées de la plupart des hommes.
Aussi toute incarnation n’est possible qu’avec l’accord de DIEU. Si le PERE a permis aux
entités spirituelles d’œuvrer en toute liberté, il ne leur a accordé la vie, tant qu’elles
demeurent dans l’univers matériel, qu’à titre de PRET. Elle sera définitive et éternelle, que si
elles oeuvrent en observant la philosophie de DIEU, en conservant la parole sainte et en
rejetant définitivement les forces du mal. Alors le PERE offrira à l’entité la possibilité de
réaliser de grandes choses. Elles seront enfin enfants de DIEU.
Le CHRIST a dit :
Quand la vie sera engendrée en vous, la vie vous sauvera. Si vous n’avez pas la vie, l’absence
de vie vous tuera. Le cep de vigne planté hors du PERE n’est pas vivifié.
Il sera arraché à la racine, il périra. Etroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie,
et il y en a peu qui les trouvent.
Le troisième enseignement concerne la prise de conscience de la préservation de la vie, car
nul n’a le droit d’y mettre un terme, si ce n’est DIEU seul.