De nombreuses femmes vont me détester, mais en tant que serviteur de Dieu, ma sphère d’activité n’est pas matérielle mais uniquement spirituelle.
Il est écrit concernant ceux qui provoquent l’avortement, hommes et femmes : "Ceux-là, renaissant vie après vie au sein des espèces démoniaques, jamais ne peuvent approcher Dieu. Peu à peu, ils sombrent dans la condition d'existence la plus sinistre."
L’avortement est un crime, car l’œuf qui deviendra embryon puis fœtus est déjà vivant, puisqu’une âme s’y trouve, implantée par Dieu. D’autre part, en avortant, l’existence de l’âme est interrompue provoquant à cette dernière une terrible souffrance. L'homme et la femme impliqués dans ces péchés en deviennent responsables, si bien qu'ils devront subir le même sort dans leur prochaine vie. Ils devront, eux aussi, entrer dans le sein d'une mère et être tués de la même façon. Tout cela peut cependant être évité si l'on demeure sur le plan spirituel de la Conscience de Dieu, et ne jamais interrompre une vie. Voir le Logos 435 pour en savoir plus.
Tout homme devrait éprouver de la peine devant le malheur des autres et de la joie devant leur bonheur. Il faut ressentir comme siens le bonheur et le malheur des autres. C'est sur ce principe fondamental que reposent la non-violence et l’amour inconditionnel.
Puisque nous éprouvons de la douleur lorsque quelqu'un nous tourmente, nous ne devrions pas infliger de souffrance aux autres êtres vivants. La mission du sage serviteur de Dieu consiste à mettre un terme au massacre injustifié des animaux. On ne peut se dire croyant, et continuer à tuer les animaux uniquement pour le plaisir de se délecter de leur chair. Un tel comportement relève de la plus grande hypocrisie. Jésus a dit: "Ne tuez pas," mais des hypocrites se prétendent chrétiens tout en entretenant des milliers d'abattoirs.
Il faut être heureux du bonheur des autres, et malheureux de leurs souffrances. Nous devons faire preuve de compassion à l’égard de tous les êtres vivants sans exception, les êtres humains, les animaux et les végétaux. Ce sont des corps de matière qui renferment chacun une âme, qui n’est autre de l’enfant de Dieu.
Il existe, en vérité, deux sortes d'énergie, l'une matérielle et l'autre spirituelle. Toutes deux existent à jamais, car ce sont des émanations de la vérité éternelle, le Seigneur Suprême, Dieu.
Étant donné que l'âme individuelle incarnée éprouve depuis des temps immémoriaux le désir d'agir dans l'oubli de son identité originelle, elle accepte différentes situations au sein de corps matériels différents et on lui attribue alors diverses dénominations correspondant aux innombrables nationalités, communautés, groupes sociaux, espèces, qu’elle assume lors de chacune de ses incarnations.
Les divisions qui résultent de généralisations et de distinctions, telles que la nationalité et l'individualité, sont le fruit de l'imagination de personnes qui ne sont