Paroles de sagesse, la sagesse de Dieu
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Ecoute Ma parole, car Je la dis pour ton bien.

Si Je te révèle cette part du savoir, la plus secrète, c'est que tu es Mon ami très cher. Ecoute Ma parole, car Je la dis pour ton bien.

Emplis toujours de Moi ton mental, et deviens Mon dévot, offre-Moi ton hommage, voue-Moi ton adoration, et à Moi tu viendras. Cela, Je te le promets, car tu es Mon ami, infiniment cher.

Laisse là toute autre forme de religion, et abandonne-toi simplement à Moi. Toutes les suites de tes fautes, Je t'en affranchirai. N'aie nulle crainte.

Ce savoir secret ne saurait être dévoilé aux hommes ni austères, ni dévoués, ni engagés dans le service de dévotion, ou qui M'envient.

Pour celui qui enseigne ce secret suprême à Mes dévots, le progrès dans le service de dévotion est assuré, et, à la fin, nul doute, il reviendra à Moi.

Nul de mes serviteurs en ce monde ne M'est plus cher que lui, et jamais nul ne Me sera plus cher

Et je le proclame, celui qui étudiera cet entretien sacré, le nôtre, M'adorera par son intelligence.

Quant à celui qui l'aura écouté avec foi, sans envie, il s'affranchira des suites de ses actes coupables et atteindra les planètes où vivent les vertueux.

Telles sont les raisons pour lesquelles le Seigneur nous conseille de ne pas nous attacher aux fruits de l’action.

En vérité, trois facteurs sont ici à considérer ; le devoir prescrit, l’action indépendante, et l’inaction.

Les devoirs prescrits correspondent aux obligations auxquelles on doit faire face tant que l’on subit l’emprise des trois gunas, les trois attributs et modes d’influence de la nature matérielle : la vertu, la passion et l’ignorance.

Les actions indépendantes, correspondent à celles que l’on accomplit sans tenir compte des instructions que nous donnent les Védas, les saintes Ecritures originelles et les maîtres spirituels.

L’inaction consiste à refuser d’accomplir son devoir.

Le Seigneur conseille de ne pas emprunter la voie de l’inaction, mais plutôt d’agir en fonction de son devoir sans s’attacher aux résultats, car celui qui s’attache aux fruits de l’action prend sur lui la responsabilité de ses actes, et doit donc jouir ou souffrir de leurs conséquences.

Les devoirs prescrits peuvent être de trois ordres ; les devoirs de routine, les devoirs d’urgence et les occupations voulues.

Les devoirs de routine seront accomplis selon les normes des Védas, et sans attachement pour les fruits qui en découlent, parce qu’il s’agit là de devoirs imposés, les accomplir relève de la vertu.

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