Paroles de sagesse, la sagesse de Dieu
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Pour y mettre un terme et avoir une vie heureuse, il suffit d’aimer Dieu, de lui obéir, de le servir avec amour et dévotion et d’aimer tous les êtres vivants, humains, animaux et végétaux sans exceptions.

Dieu seul contrôle Tout pour nous. Nous sommes tous sous sa tutelle. Même le corps matériel dans lequel l’âme s’est réincarnées ne lui appartient pas, car propriété du Seigneur Krishna. Nous arrivons en ce monde avec rien, et c’est les mains vides que nous le quitterons le moment venu. Tout appartient à Dieu.

En réalité, la cause de toutes les maladies est d’origine spirituelle. Et la cause majeure, c’est l’oubli de notre relation d’amour avec Krishna, Dieu, la Personne Suprême.

L’âme qui perd tout contact avec Dieu, oublie sa propre identité spirituelle et s’adonne à d’innombrables activités matérielles qui l’emmêlent dans un réseau de karma. Ce karma lui occasionne des souffrances, et au lieu de se tourner vers Dieu pour alléger ses douleurs, l’être spirituel incarné recherche des solutions matérielles qui malheureusement entraînent à leur tour d’autres réactions karmiques, et donc d’autres souffrances.

Au fil des innombrables existences traversées, les êtres spirituels incarnés ont accumulé par leurs pensées, paroles et actions, une masse importante de préjudices, d’actes coupables ou péchés qui les obligent, et subissent aujourd’hui les malheurs et souffrances qui en résultent. Aussi, c’est par douleur ou souffrance subie et ressentie, que l’on diminue et efface nos fautes.

La souffrance est utile et nécessaire.

Ce sont les actes commis dans le passé voire la vie antérieure d’un être, qui déterminent les conditions de sa prochaine naissance ou réincarnation, et existence. Les souffrances liées aux actes coupables ont une double origine : Les actes eux-mêmes, mais aussi ceux commis lors des vies précédentes.

L’origine des actes coupables se trouve être le plus souvent l’ignorance. Mais le fait d’ignorer qu’un acte est coupable ne permet pas pour autant d’éviter, si on le commet, ses conséquences indésirables, qui donnent lieu à d’autres actes coupables.

On distingue d’autre part deux sortes de fautes : celles qui sont pour ainsi dire « parvenues à maturité », et celles qui ne le sont pas encore. Par « fautes parvenues à maturité », il faut comprendre celles dont nous subissons actuellement les conséquences. Les autres sont celles qui, nombreuses, sont accumulées en nous et n’ont pas encore produit leurs fruits de souffrances.

L’homme qui commet un crime peut n’être pas immédiatement pris et condamné, mais il le sera tôt ou tard. Pareillement, nous devrons, pour certaines de nos fautes, souffrir dans le futur, de même que pour d’autres, « parvenues à maturité », nous souffrons aujourd’hui.

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