Dieu, révélation de l'initié de la voie 13
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L’accès au plan céleste est subordonné à la purification de l’essence spirituelle, au rejet de
tout ce qui est matériel, des forces du mal, et à la renaissance en tant qu’entité spirituelle.
Cette dernière est la résultante d’actions bénéfiques réalisées sur terre.
Le troisième enseignement que l’on peut tirer de cette aventure vécue, concerne le devenir des
entités spirituelles, et les voies qui lui sont proposées. Il est une chose établie, c’est celle qui
consiste à comprendre que DIEU a mis en place une loi divine, précisant la suite à donner à
tout acte, attitude, comportement, intention, bon ou mauvais, et qu’en conséquence, une
récompense ou une sanction en est la résultante. Personne sur le plan spirituel ne peut y
échapper. Un jugement est effectué et des sanctions prises.
Le quatrième enseignement concerne l’unicité des ETRES spirituels, la primauté de l’essence
spirituelle, la primauté de l’essence spirituelle sur le corps, et l’identification des entités
spirituelles. Ce n’est que l’initié ou l’éveillé, qui encore dans son enveloppe charnelle, en
mesure la portée. Elle ne devient réelle, tangible, concrète pour toutes les autres, qu’une fois
qu’elles ont quitté leur corps et se retrouvent dans l’univers spirituel. Et là encore, il leur faut
une période d’adaptation, avant qu’elles n’en aient conscience, et qu’elles n’en mesurent la
réalité. Elles comprennent enfin, mais c’est très souvent trop tard. Elles savent alors, en
s’observant toutes, qu’elles sont identiques, et que la couleur de peau n’est qu’une donnée
spécifique au plan terrestre. En effet cette réalité ne concerne pas les sphères spirituelles, car
l’essence des ETRES spirituels est la même pour tous, et n’a pas de couleur. Nous savons
enfin qui nous sommes.
Il faut avouer que cette situation est déroutante, pour quiconque n’a aucune réalité, et demeure
ignorant des choses célestes. Que sait l’homme de ce qui suit la mort terrestre. Rien n’est-ce
pas ? Aussi désormais vous savez.
Le dernier enseignement à tirer de ce passage dans la zone de transition, concerne un
éclaircissement, celui du jugement dernier.
En effet, tous les hommes sans exclusive, ne peuvent y échapper, et là je fais allusion à ceux
qui ont commis un crime et donc fait verser le sang, et qui pour fuir la justice des hommes se
suicident, ils se trompent. Eux surtout n’y échapperont pas. Tous les hommes sont concernés.
A la justice et au jugement de DIEU, c’est impossible.
Certains érudits, analystes ou traducteurs, ont modifié le sens exact donné à la parole du
CHRIST concernant le jugement dernier. D’aucuns sont partis du principe que ce jugement
mettait fin à toute existence terrestre, d’autres sont partis dans des diatribes contestables car
basées sur l’ignorance arguant que ce fameux jugement interviendrait à la fin du monde ou à
une date donnée et sonnerait le glas. Autrement-dit, d’après ces rêveurs, la vie cesserait d’être,
tout ceci est faux.
Le dogme du jugement dernier est fondé certes sur les textes sacrés et donc de l’interprétation
de la parole du CHRIST, mais a aussi fait l’objet d’une analyse hasardeuse, erronée et sans
lien direct avec le sens profond et réel des propos du CHRIST.
Bien évidemment, si l’on se réfère à la parabole du moissonneur, le CHRIST donne dans cette
allégorie ce qui s’est vraiment passé depuis ADAM et EVE à son avènement, et explique par-
là que l’homme dans son aveuglement et sa propension à suivre les conseils du prince des
ténèbres plutôt que ceux utiles et éclairés de DIEU, a mené toute la précédente génération à
œuvrer en marge du chemin qui mène au salut.
Cette parabole profonde de sens et de vérité, explique ce qui se passe et la suite qui sera
donnée à la génération d’avant sa venue parmi les hommes, qui se trouve être affiliée à
l’obscurantisme. Aucune filiation d’ADAM et EVE à celle demeurant et contemporaine au
CHRIST, n’a pu avoir accès au royaume, du fait qu’elle était porteuse pour une grande
majorité du germe du mal sous toutes ses formes.
A la moisson, le propriétaire du champ, demande à ses ouvriers, d’arracher d’abord l’ivraie,
afin qu’elle soit mise en botte et jetée au feu. Le blé mûr, sera récolté à part, puis stocké dans

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