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Nous avons par ignorance cru très longtemps, qu’il n’existait que le côté visible de notre
univers, celui que nous connaissons, que nous voyons, que nous explorons avec nos fusées, et
que nous cherchons à mieux connaître. N’ayant aucune explication rationnelle à donner, quant
à l’existence du monde spirituel saint, nous demeurons aveugle car plongé que nous sommes
dans la matière. Nous en avons par faiblesse ou par commodité nié l’existence. Pour prendre
comme point de départ la science, cette dernière admet ne pas connaître la composante exacte
de la matière issue de l’univers spirituel, mais la solution pensent certains chercheurs, passe
par l’existence de particules élémentaires n’ayant qu’une faible interaction avec la matière
ordinaire, du moins celle que nous connaissons.
L’intrus, admettent-ils, serait le neutrino, une particule élémentaire, électriquement neutre, qui
se serait découplé de la matière originelle quelques instants après le big-bang, comme bien
d’autres d’ailleurs, telles les molécules organiques, présentant en leur sein des propriétés que
l’on croyait jusqu’ici réservées aux mondes des vivants, comme une signature de vie.
Si le neutrino a une masse, alors il pourrait constituer une part importante de la matière
manquante. Nous pénétrons indubitablement dans l’univers spirituel, puisqu’un élément
composant sa structure pénètre notre monde matériel, même s’il ne nous est pas possible de le
détecter qu’à partir d’appareils hyper sophistiqués. Car il faut bien le préciser, le neutrino est
un élément qui traverse la matière.
Or n’oublions pas que notre univers matériel-binaire, est issu d’une double combinaison
d’éléments provenant des univers célestes, et de ceux gravitants dans le royaume céleste. Les
hommes ne connaissent de la matière que ce qu’ils voient, comme tout objet ou substance
ayant une masse, une forme, un poids. Pour eux, elle ne saurait être que pesante, solide,
palpable.
Les scientifiques, même s’ils n’en sont encore qu’aux balbutiements, admettent l’existence
d’un autre aspect de la matière, que même les instruments d’optique ne peuvent voir, encore
moins déceler, mis à part peut-être le neutrino. Les chercheurs tentent de découvrir, de
pénétrer, de savoir ce que peut-être depuis de nombreuses années maintenant ce qu’ils
appellent la « masse manquante de l’univers ». Etant donné que notre univers est bipolaire,
composé de deux parties, l’une matériel et l’autre spirituelle, les deux parties s’interpénétrant,
nous avons maintenant la réponse.