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Après cette première phase, ou DIEU a cantonné sa création, univers céleste et entités célestes
ou royaume céleste, c’est-à-dire en les plaçant au niveau supérieur de la chaîne de l’évolution
et de l’élévation spirituelle, zone ou les entités spirituelles ne peuvent accéder qu’après avoir
épuré leur essence spirituelle.
DIEU, ou plutôt son autre MOI, le premier ETRE de LUMIERE, décida de créer un univers
de niveau inférieur, en donnant à cette nouvelle région une consistance différente des
précédentes, en faisant en sorte que la matière qui la compose soit toute autre mais aussi
proche pour qu’un lien soit maintenu. Contrairement aux autres univers spirituels, celui-là
sera double, à la fois matériel et spirituel.
Naissance de notre univers matériel-binaire. Pour développer ce chapitre, je vais utiliser deux
données, l’une spiritualiste, et l’autre matérialiste.
L’engouement que suscitent depuis des décennies les différentes découvertes, interprétations
nouvelles concernant les créations des univers est tel que les hommes au travers d’érudits, de
chercheurs spécialisés, n’ont cessé d’y apporter une attention soutenue. Certes, si les réponses
concernant le sujet ne permettent pas d’apporter un éclairage nouveau, il est évident qu’il
faille à mon avis tenir compte des textes sacrés, et des données scientifiques. Les hypothèses
sont nombreuses, et les explications scientifiques de la création de notre univers prenant en
compte comme point de départ le big-bang, permettent de pénétrer plus en avant et de percer
en parti cette énigme. Mais là encore, le débat est passionné, et de nombreux chercheurs
faisant preuve d’une plus grande rationalité, y intègrent après mûres réflexions dans leurs
activités, des données liées à la révélation divine.
Les différentes religions, au travers des données transmises par l’ETERNEL aux prophètes, et
retranscrites dans les ouvrages sacrés, sans apporter d’explications tangibles, se contentent de
relater des faits précis, patents, concernant la création, laissant les hommes d’aujourd’hui dans
l’expectative d’une vérité qui, non seulement se fait attendre, mais semble de surcroît
incomplet ou non développé. Il est évident que leur mission première est de faire connaître
DIEU, d’apporter l’importance que ce dernier accorde aux hommes, l’intérêt et l’amour qu’il
berce à leur égard.
Or si certaines vérités ne sont pas encore accessibles aux hommes, du fait de leur incapacité à
les analyser autrement qu’en termes matérialistes, elles se révèleront petit à petit, dès lors que
les analyses se feront en données spirituelles, au fur et à mesure de l’avancée technologique et
du désir du peuple humain à progresser et à améliorer ses connaissances.
N’oublions pas une donnée fondamentale. DIEU, ENTITE SPIRITUELLE par excellence,
s’est toujours adressé aux hommes en tant que tel, et jamais autrement. Dès lors, la
compréhension et l’analyse de ses propos ne peuvent être comprises par les hommes, tant
qu’ils n’auront pas admis qu’ils sont avant tout eux aussi des entités spirituelles, et non des
êtres de chair.
Ce n’est pas parce que la science ne peut apporter d’explications tangibles, précises sur tel ou
tel phénomène ou mystère lié à la création de notre monde, et à fortiori à l’existence de DIEU,
qu’il faille à l’évidence en nier la réalité, et occulter l’origine divine des hommes.
Contentons-nous de raisonner avec objectivité, et qu’on le veuille ou non, j’ai beau me
creuser l’esprit, je ne peux me résoudre à imaginer un instant que l’homme, comme d’aucun
l’imagine, n’aurait pas d’origine divine. D’après ces matérialistes, il serait la résultante d’un
long processus d’évolution de la matière. Cette simple hypothèse me répulse, me renverse.
Certains chercheurs sont partis de la théorie que le vide initial en tant que tel ne l’était pas, car
il y avait en fait en son sein une énergie minimale, latente, fluctuante, qui petit à petit se
dilata, augmenta en puissance pour donner naissance à la fameuse explosion que nous
connaissons.
D’autres, partant de la même hypothèse, précisent également que l’univers initial était baigné
par une température extrêmement froide, avoisinant le zéro absolu. Des recherches faites en