La voie de la libération, de la véritable liberté
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L'être humain est, en vérité, sujet à deux sortes de maladies. L'une de nature matérielle, et l'autre de nature spirituelle.

L'être humain est, en vérité, sujet à deux sortes de maladies. La première est de nature matérielle, et la deuxième, la principale, est de nature spirituelle.

Bien que Krishna, Dieu, la Personne Suprême soit la beauté pure qui pénètre Tout et la cause de toutes les causes, Il n'est pas responsable des malheurs et des souffrances que nous endurons.

Le Seigneur enseigne : « Ce sont les pensées, les désirs et les souvenirs de l'être à l'instant de quitter le corps, qui déterminent sa condition future ».

Le Seigneur ajoute : « L'action, il convient de l'offrir en sacrifice à l'Être Suprême, de peur qu'elle enchaîne son auteur au monde matériel. Aussi, remplis ton devoir afin de Lui plaire, et à jamais tu seras libéré des chaînes de la matière.

Quoi que tu fasses, que tu manges, que tu sacrifies et prodigues, quelque austérité que tu pratiques, que ce soit pour Me l'offrir. Ainsi, tu te libéras des conséquences de tes actes, tous, vertueux ou coupables. Par ce principe de renoncement, tu seras libéré et viendra à Moi ».

En vérité, toutes les pensées, paroles et actions produisent des effets, qui entraînent des suites bonnes et/ou mauvaises, qui provoqueront à leur tour des conséquences sous formes de bienfaits ou de souffrances, ressentis à la fin de la vie actuelle déjà, mais à coup sûr tout au long de la vie suivante.

Plus nous faisons preuve de méchanceté, plus nous exprimons par la pensée, la parole et les actes la haine, le racisme, l'indifférence et la froideur de cœur à l'égard de ceux qui sont différents de nous, plus la masse de nos actes malfaisants augmente du fait de l'obscurcissement de notre mental, et plus nous serons amenés à souffrir dans notre vie présente déjà, mais surtout à coup sûr dans notre vie future.

Voilà pourquoi les gens disent parfois, « pourquoi cette répétition de malheurs, ou qu'est-ce que j'ai fait au bon Dieu pour souffrir autant ? »

En réalité, nous sommes nous-mêmes responsables des maladies, des malheurs et des souffrances que nous endurons, alors n'accusons pas Dieu à tort, car nous commettons là une offense à son endroit.

Ce sont nos désirs, nos envies, nos actes intéressés pour notre seul profit, qui sont à l'origine des suites bonnes ou mauvaises, de ce que nous souhaitons pour nous seul.

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