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Dès lors elles pénètrent la matière, je veux évidemment parler du corps humain, et tel un épais
nuage, lie l’entité spirituelle à son enveloppe charnelle, l’empêchant de raisonner avec
objectivité, justesse, avec condescendance envers les personnes qui les entourent.
Du fait qu’elles soient chargées négativement, entraîne une réflexion évidente, qui nous
autorise à savoir qu’elles renferment en elles toutes les tares liées aux forces du mal, et
libèrent par un conditionnement total de l’entité, des réactions néfastes, désastreuses et pleines
d’agressivité.
L’entité est dès lors prisonnière de la matière, et en quelque sorte esclave des divers courants
négatifs qui y règnent.
C’est ainsi qu’elle réagira au moindre fait mineur par une agressivité latente, et se retrouvera
constamment mû par des pulsions matérialistes telles que :
Envie, désir, convoitise, pulsion sexuelle, recherche et conservation inconsidérée du pouvoir,
l’action mise sur l’exclusivité mettant en place le tout pour soi et rien pour les autres,
l’hypocrisie, le mensonge, la recherche effrénée du profit, le mépris de la race humaine.
Nous pourrions assimiler les masses négatives à une force qui exercerait une pression intense,
continue, et permanente sur l’entité spirituelle, l’enfermant dans son enveloppe charnelle, et
l’isolant davantage de l’espace dans lequel elle évolue, l’éloignant de l’univers céleste, et
donc la mettant en retrait des données réalistes.
Toutes les personnes qui se complaisent dans la méchanceté, doivent réfléchir attentivement.
Non seulement elles font du mal aux autres, mais elles ignorent surtout que les masses
négatives qu’elles ont libérées, se retournent inévitablement contre elles. C’est ce que
j’appelle l’effet « boomerang ». Les masses négatives enserrent l’entité, l’empêche ainsi
d’agir librement, freinent son évolution, le maintien dans un état de dépendance totale, et la
rend aveugle à la vérité ainsi qu’au monde qui l’entoure. Elle est comme enfermée dans un
halo d’ondes négatives. Elle est dès lors sous l’emprise constante des formes négatives, et en
subit les effets.
Le professeur Edouard Zarifian dans une interview parue dans science et vie hors série n°236
de septembre 2006 précisait :
La parole (qui peut être silencieuse ou gestuelle) construit notre accès au psychisme depuis
notre enfance. Et elle seule permet d’avoir accès au psychisme de l’autre, c’est-à-dire, aux
représentations qui lui sont propres, uniques. C’est en ce sens que j’ai pu parler de « miracle
de la parole », car sa puissance est énorme. La parole peut guérir mais aussi blesser, voire tuer
car elle fait mal là où ça ne peut toucher que mon individualité unique.