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Alors qu’il transmettait aux apôtres les données relatives aux mystères terrestres et célestes,
l’ETRE de LUMIERE leur précisa ceci :
Ce qui entre dans votre bouche ne peut pas vous souiller, mais ce qui sort de votre bouche, c’est
cela qui peut vous souiller.

Autrement dit, toutes les paroles négatives, invalidantes, blessantes, nocives, perverses,
belliqueuses, empreintes de haine, véhiculant l’indifférence, le mépris, le rejet du prochain, la
cruauté, l’iniquité, le cynisme, qui visent à limiter ou à contrer la liberté et le libre choix d’autrui, à
forcer quiconque à œuvrer contre son gré, ou à l’amener à faire le mal en répandant des
philosophies fallacieuses car issues du mensonge, viennent du cœur et expriment la personnalité
profonde de l’auteur, son fond réel, son ressenti, ses émotions, et mettent en évidence un intellect
au contenu limité.
Elles sont destructrices dans ces cas là, car chargées de masses négatives, et mènent inexorablement
à la perdition.
Le cœur ici, est l’émanation de l’affect, mais est aussi l’expression traduisant généralement le
prolongement de la pensée qu’elle reproduit.
D’aucuns partent du principe que la pensée est une activité du cortex cérébral, duquel émerge un
ensemble de principe tels que la réflexion, la compréhension, l’analyse, la mémoire, la faculté
d’entreprendre etc., et demeure dans le corps humain où il trouve son siège.
En fait il n’en est rien.
Vous savez maintenant mes amis, que nous sommes tous des entités spirituelles, et que notre
enveloppes charnelles n’est rien d’autre qu’un vêtement que nous avons revêtu, afin de pouvoir
évoluer dans ce monde régit par la matière.
C’est pourquoi, si le cerveau de notre enveloppe charnelle joue le rôle fondamental de catalyseur, de
récepteur, de répartiteur, de contrôleur des données vers lequel convergent et repartent les signaux
et flux véhiculant des informations diverses émanant des différents organes et cellules du corps
humain, il n’est par contre en aucun cas le siège de la mémoire, de l’intelligence, car le mental et
l’intellect ce trouvent en vérité dans l’essence même de l’entité spirituelle.
D’où la différence qui caractérise l’homme de l’animal.
Toutes les données, (noms des objets, des êtres, des choses, les messages et enseignements divers,
les informations de toutes sortes, tout ce qui est lié au savoir, à la connaissance, nos expériences
diverses, etc.) captées puis enregistrées, sont rangées puis stockées dans notre mental. Elles y sont
extraites par l’intellect, qui les envoient sous formes d’ondes en direction du cerveau humain et
notamment du diencéphale, qui joue là, le rôle d’intercesseur et de répartiteur, et les dirigent vers
les cordes vocales (lorsqu’il s’agit d’exprimer une pensée) où elles sont traduites ou converties en
sons, et expulsées par la bouche, devenant ainsi des séries de mots, qui sont suivant les cas, ondes
ou masses positives ou négatives.
Le contrôle et la mainmise qu’exerce l’entité spirituelle sur son corps, ce fait par l’intermédiaire du
diencéphale principalement, ce dernier jouant ainsi dans le cerveau, le rôle de centre de contrôle du
corps humain, et demeure de fait, pour l’entité spirituelle, un point névralgique essentiel. C’est lui