Si la civilisation actuelle continue de se comporter comme elle le fait, et de ne pas écouter le Seigneur, le temps viendra bientôt où Dieu, la Personne suprême, enlèvera toutes les facilités matérielle aux être humains. Alors les gens reviendront à la raison.
Lorsque la nation est régie par les principes mentionnés ci-dessus, la conscience de Dieu se répand alors naturellement partout, pour le bien de tous les êtres vivants, humains, animaux et végétaux.
Notre devoir éternel est de servir Dieu, et de Lui faire plaisir.
Abandonnons-nous à Krishna, Dieu, la Personne Suprême, unissons nos intérêts aux siens, notre volonté à la sienne, renouons le lien qui nous unit à Lui, obéissons-Lui sans réserve, spontanément, immédiatement, et servons-le avec amour et dévotion, c'est là notre devoir éternel.
Servir Krishna, Dieu, la Personne Suprême est la manifestation de l'amour pour Dieu, et la perfection de l'existence.
En vérité, tous les êtres saints qui vivent auprès de Krishna, Dieu, la Personne Suprême et Souveraine dans son royaume, tout de connaissance, de félicité et d'éternité, agissent et se comportent tout naturellement ainsi. Leur cœur est rempli d'amour pour Dieu, et Krishna leur rend cet amour sublime.
L'existence n'a d'autre but que de satisfaire Dieu, de Lui faire plaisir, de le rendre heureux. Alors sur terre déjà, agissons tous ainsi.
Pourquoi lorsque Dieu donne des signes aux hommes, tel le covid-19, ils ne veulent tout simplement pas l'écouter et le suivre ?
L'Eternel Suprême dit :
S'ils ne te croient pas, et ne prêtent pas attention au premier signe, ils croiront à ce dernier signe. S'ils ne croient pas même à ces deux signes et n'écoutent pas ta voix, tu prendras de l'eau du Nil… qui deviendra du sang sur la terre sèche.
(Exode 4.8)
Ils écoutent tes paroles, mais ne les mettent pas en pratique.
(Ezéchiel 33.32)
Comme la pluie et la neige descendent des cieux et n'y retournent pas sans avoir arrosé, fécondé la terre, et fait germer les plantes, sans avoir donné de la semence au semeur et du pain à celui qui mange, ainsi en est-il de Ma parole, qui sort de Ma