vivante, et que derrière une tranche de poisson, il y avait un bars, un mérou, un thon, une dorade, un brochet, une carpe, etc.

Ne participons plus au massacre des animaux terrestres et aquatiques, ne soyons plus complices de leur assassinat, cessons dès maintenant de manger de la viande, du poisson et des œufs. Tous les animaux, comme nous, ont le droit de vivre et de progresser sur le plan spirituel.

Enseignement de l'Eternel Suprême.

Dieu éprouve pour tous les êtres vivants, les êtres humains, les animaux et les végétaux, un égal amour. Nous ne sommes pas le corps de matière dans lequel nous résidons, mais des entités spirituelles appelées aussi âmes spirituelles. Nous nous sommes incarnées dans un corps humain, animal ou végétal, en fonction de nos actes commis dans notre vie antérieure, conséquence de notre karma respectif.

Tous les animaux ont une âme ainsi que tous les végétaux, et à ce titre nous devons les protéger et prendre soin d'eux. Voilà la raison majeure pour laquelle l'Eternel Suprême interdit d'ôter la vie à un être humain et à un animal, et nous demande expressément de ne pas détruire les végétaux, et de ne pas manger de viande, de poisson et d'œuf. Alors écoutons Dieu, et faisons ce qu'Il dit.

Nous devons préserver la vie, et non la détruire.

Il est du devoir de l'âme spirituelle incarnée dans un corps humain de ne pas oublier qu'elle doit veiller à ne pas tuer, même des fourmis.

En effet, un être humain, et encore moins un saint serviteur ou une sainte servante de Dieu, ne doit jamais être malveillant ou inutilement violent. De très nombreuses fourmis traversent le chemin que nous empruntons, mais l'être humain doit surveiller ses pas en regardant toujours à un mètre devant lui, et lorsqu'il n'y a plus de fourmis sur son passage, il peut alors poser son pied sur le sol. Le cœur d'un être saint déborde toujours de bonté à l'égard de tous les êtres vivants, humains, animaux et végétaux.

Dans son enseignement, le Seigneur dit que les êtres vivants revêtent des corps aux formes diverses. Toutefois, les incroyants considèrent que seuls les êtres humains sont dignes de leur compassion, alors que Dieu Lui-même déclare être le Père Suprême de tous les êtres quels qu'ils soient. En conséquence, l'être saint veille constamment à ne pas détruire de manière précoce ou sans nécessité, la moindre forme de vie.

En vérité, chaque être spirituel doit passer un certain temps emprisonné dans un certain corps matériel, humain, animal ou végétal, et il lui faut parvenir au terme de ce temps avant d'évoluer vers une autre forme de corps.