La science de Dieu, ou science du salut
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Nos souffrances, quelles qu’elles soient, sont les conséquences des actes coupables que nous avons commis dans notre vie antérieure. Celui qui fait le mal de quelle que manière que ce soit, subira à son tour lors de sa prochaine incarnation, exactement la même chose. Nous pouvons cacher des choses aux hommes, à Dieu c’est impossible, car Il voit tout et sait tout de nous.

La réincarnation est une réalité, ces six écrits le prouvent.

L’Eternel Suprême dit : « Voici, Moi-même Je vous enverrai le prophète Elie avant la venue du jour de l’Eternel, jour grand et redoutable ». (Malachie 3 :23)

Jésus avait dit : « Et si vous voulez me croire, Jean, c’est Elie qui devait revenir ». (Matthieu 11 :14)

Jésus ajoute : « Si quelqu’un parle contre le fils de l’homme, il recevra le pardon. Mais s’il parle contre l’Esprit Saint, il ne recevra pas le pardon, ni dans cette vie, ni dans la vie qui va venir ». (Matthieu 12 :32)

L’Eternel Suprême dit : « A l’instant de la mort, l’âme prend un nouveau corps aussi naturellement qu’elle est passée dans le précédent, de l’enfance à la jeunesse, puis à la vieillesse. Ce changement ne trouble pas qui a conscience de sa nature spirituelle ».

L’Eternel Suprême ajoute : « Tout homme s’adonne à divers actes, conformes ou non aux écritures révélées. Or sache-le, il suffit qu’on emploie le fruit de tels actes à M’adorer dans la conscience de Krishna pour être aussitôt béni d’un bonheur qui se perpétuera en cette vie et en la prochaine, dans ce monde comme dans l’autre. Là-dessus, nul doute ».

L’Eternel Suprême termine en disant : « La mort est certaine pour celui qui est né, et certaine la naissance pour celui qui meurt ».

Ce que nous avons fait, nous sera fait.

Dieu exauce nos désirs et sanctionne nos actes.

Nos pensées, paroles et actions engendrent des effets positifs ou négatifs, qui provoquent des conséquences bonnes ou mauvaises. Ce sont les actes commis dans le passé ou la vie antérieure d’un être, qui déterminent les conditions de sa prochaine naissance ou réincarnation. Les souffrances liées aux actes coupables ont une double origine : les actes eux-mêmes, mais aussi ceux commis lors de vies antérieures.

L’origine des actes coupables se trouve être le plus souvent l’ignorance des données relatives à Dieu, à la vérité existentielle et au savoir spirituel absolu. Mais le fait d’ignorer qu’un acte soit coupable ne permet pas pour autant d’éviter, si on le commet, ses conséquences indésirables, qui donnent lieu à d’autres actes coupables.

On distingue d’autre part deux sortes de fautes : celles qui sont pour ainsi dire parvenues « à maturité », et celles qui ne le sont pas encore. Par « fautes parvenues à maturité », il faut entendre celles dont nous subissons actuellement les conséquences, les autres sont celles qui, nombreuses, sont accumulées en nous et n’ont pas encore produit leurs fruits de souffrances. L’homme qui commet un crime peut ne pas être pris immédiatement et condamné, mais il le sera tôt ou tard.

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