Paroles de sagesse, la sagesse de Dieu
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les animaux et les végétaux, aussi, personne n'a le droit de l'ôter à qui que ce soit, sans devoir en payer le prix. Tuer un animal pour se nourrir, est le plus grave péché qui soit.

En disant aux êtres humains qu'Il leur donne la semence provenant des végétaux et des arbres fruitiers, Dieu leur fait comprendre que telle est leur nourriture. Les hommes ne doivent pas tuer un animal s'ils veulent se nourrir, car le seigneur leur spécifie qu'ils sont nécessairement végétariens. Ils peuvent se nourrir de céréales, de fruits, de légumes, de lait et de produits laitiers.

Dieu à pourvu l'homme de suffisamment de légumes, de fruits, de céréales, de légumineuses, de produits laitiers, aussi, il n'a absolument pas besoin d'ouvrir des abattoirs et autres centres de la mort, et d'y tuer les animaux terrestres et aquatiques. En fait, aucune société ne peut se qualifier d'humaine tant qu'elle se livre à de telles atrocités.

Je le répète à nouveau, il y a une âme dans un corps humain, mais aussi dans chaque corps animal terrestre et aquatique, et dans chaque corps de végétal. Que tous ceux qui l'ignorent encore, sachent que dans chaque œuf il y a aussi une âme. C'est grâce à l'âme que le corps de l'être humain, de l'animal, du végétal et bien entendu de l'œuf, dans lequel elle réside se développe, grandit et vit. Ôtez l'âme de tous ces divers corps, et ils se retrouveront inertes, morts.

Tant que l'être humain vit dans le péché en se nourrissant de viande, de poisson et d'œuf, il ne pourra jamais connaître Dieu. Or le devoir de l'être humain consiste précisément à Le connaître, à L'aimer et à le servir avec amour et dévotion.

Il y a 5 000 ans encore, il était interdit dans l'Inde entière de tuer un animal terrestre et aquatique, et encore moins d'en manger la chair. Dans toute l'Inde la parole de Dieu mentionnée ci-dessus était respectée et appliquée à la lettre, car juste et pure. Le peuple ne mangeait ni viande, ni poison ni œuf.

Par contre, c'est uniquement lors du sacrifice d'un animal immolé en l'honneur de la déesse Kali dans le temple qui lui est dédié, que la chair de l'animal immolé pouvait être consommée par les adeptes présents, et uniquement à cette occasion.

Les Védas, les saintes écritures originelles appelées aussi « le véritable évangile », font mention d'un sacrifice où l'on immole un bouc, un buffle ou un animal du même genre devant la déesse Kali, afin d'empêcher les êtres humains de manger de la viande, et de devenir ainsi responsable de la mise à mort de l'animal dont ils vont consommer la chair. C'était la seule condition où il était permis à l'être humain de manger la chair d'un animal, seulement de celui qui était immolé en l'honneur de la déesse Kali. Nulle part ailleurs et dans aucune autre circonstance cela n'était autorisé, car expressément interdit.

Nombre de pratiques mentionnées dans les écritures védiques [des Védas, les saintes écritures originelles appelées aussi « le véritable évangile »] donnent lieu à des

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