Paroles de sagesse, la sagesse de Dieu
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S'il arrive une fois grand, que le fils néglige ses parents et manque de les satisfaire par ses actes ou par le don de ses biens, soyons certains qu'il sera puni après la mort par Yamaraja [le seigneur de la mort et juge des coupables].

Si quelqu'un est en mesure de prendre soin de ses vieux parents et néglige volontairement de le faire et de leur assurer sa totale protection, et néglige aussi de prendre soin de ses enfants, de son maître spirituel, des guides spirituels et autres êtres dépendant de lui, on le tient pour déjà mort, même s'il respire toujours.

Le Seigneur Bienheureux nous enseigne pour nous sauver :

Encore une fois, Je t'enseignerai cette sagesse, le plus haut des savoirs, grâce auquel tous les sages se sont d'ici-bas élevés à la perfection ultime. Qui s'établit dans ce savoir peut atteindre la nature spirituelle et absolue, semblable à la Mienne. Alors, il ne renaît pas au temps de la création, et à l'heure de la dissolution, n'en est pas affecté.

La substance matérielle en sa totalité est le siège de la conception. Je rends ainsi possible la naissance de tous les êtres. Comprends que toutes espèces de vie procèdent du sein de la nature matérielle, et que J'en suis le Père, qui donne la semence.

La nature matérielle est formée des trois gunas [les trois attributs et modes d'influence de la nature matérielle ; la vertu, la passion et l'ignorance]. Que l'être distinct [l'être spirituel distinct de Dieu], impérissable, touche la nature matérielle, et il se trouve conditionné par ces trois gunas.

Sache que la vertu, le plus pur des gunas, éclaire l'être et le libère des conséquences de tous ses actes coupables. Celui qu'elle gouverne développe le savoir, mais en même temps, devient conditionné par le sentiment de bonheur qu'elle procure. La vertu attache l'être au bonheur. Quand par toutes les portes du corps [les deux yeux, les deux oreilles, les deux narines, la bouche, l'orifice génital et l'anus] pénètre le flot lumineux du savoir, alors on peut être assuré que la vertu croît en puissance.

Qui meurt sous la vertu gagne les planètes supérieures, les planètes pures où vivent les grands sages.

Les actes accomplis sous l'égide de la vertu entraînent la purification de leur auteur, et de la vertu naît le véritable savoir.

Ceux que gouvernent la vertu s'élèvent peu à peu jusqu'aux planètes supérieure.

La passion sache-le, consiste en soif, en désirs ardents et sans fin. Elle rive l'âme incarnée qu'elle domine à l'action matérielle et à ses fruits. Elle attache l'être aux fruits de ses actes. Quand grandit la passion, alors grandissent avec elle les signes de grand attachement, de désirs incontrôlables, d'aspiration ardentes et d'efforts intenses. Qui meurt sous la passion renaît parmi les êtres humains, qui se vouent à

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